Doubles, jeux neufs, démos, etc...
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Club nintendo, promos
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Le journal possède un format original, puisqu'il s'agit d'une grande feuille recto-verso pliée en seize, ce qui le ramène à un format de
12x15cm, glissée dans une pochette plastique, avec un cadeau différent chaque mois.
Excepté une planche inédite de Titeuf, le sommaire du numéro est composé de signatures connus ou moins connues de la bande dessinée
française (Téhem avec Malika Secouss, Tébo avec Samson & Néon, Manu Larcenet avec L'Encyclo des parents) ou suisse (Mix & Remix,
Buche avec Franky Snow). Ce sont également eux qui illustrent les jeux qui s'intercalent entre deux planches de bande dessinée.
Le numéro 1 paraît en kiosques le 30 septembre 1998, avec un contenu sensiblement identique, mais sans participation de Larcenet dont
L'Encyclo des parents est reprise sous différents crayons.
Puis, au fil des mois, de nouveaux auteurs deviennent réguliers : Marie Frisson de Olivier Supiot et Éric Baptizat apparaît dans le numéro 5,
avant Tony et Alberto de Dab's ou Jimmy Brocoli de Christophe Bertschy dans le numéro 7. Boulet publie ses premières pages dans le
numéro 10, et son Miya apparaît très discrètement quatre mois plus tard, suivi par La Rubrique scientifique dont une première mouture est
ajoutée au sommaire du numéro 15. Parmi les derniers personnages de cette première période du journal, Bertschy raconte la vie de Smax
dès le numéro 17, le numéro 23 permet de découvrir le monde de Raghnarok, tandis que les Space Rangers (rebaptisés ensuite Womoks)
sillonnent l'espace à partir du numéro 29.
Le magazine connaît une première transformation lors du numéro 9, de juin 1999.
Pour augmenter la visibilité en kiosques, le format du magazine est alors doublé en hauteur (sans que le format global du journal déplié
en soit affecté). Le magazine est encore sous pochette plastique, et le gadget toujours présent.
Les “Méga Tchô !”
A partir de juin 2001 apparaissent ces recueils de 144 pages de bds et de jeux tirés du magazine Tchô !
Ils sortaient généralement pendant les vacances d‘été et d’hiver. En voici quelques numéros :
Le poster central offert
dans le magazine. Toutes
les couvertures de Tchô !
sont présentes
>
Mais le principal changement a lieu avec le numéro 54, de février 2003 (après deux numéros
datés de janvier 2003) : Tchô ! abandonne son statut de « plus petit journal mégagéant de la
planète » pour celui de «mégazine», en adoptant un format plus classique.
Le magazine compte dès lors 60 pages (puis 68), avec un poster central destiné à remplacer
les cadeaux.
Avec cette formule, la lisibilité est nettement augmentée et le magazine peut accueillir en son
sein de la publicité. L'augmentation de la pagination permet également de prépublier plus de
planches de chaque série, et permet en conséquence aux auteurs de se détacher de la
contrainte du «gag en une planche».
Après quelques histoires développées sur deux pages dans “La Rubrique scientifique” et
“Womoks”, de nombreuses séries s'essaient progressivement au «44 pages».
Titeuf reste le personnage emblématique du magazine, mais, en dehors des planches de la
série, il est généralement illustré par d'autres auteurs de la maison que Zep.
Les 53 “minizines” publiés
En avril 2007, Tchô le mégazine fêta son 100éme numéro !
Pour l’occasion le titre revêtit ses habits de lumière en adoptant une
couverture dorée, porta sa pagination de 60 à 100 pages et augmenta
son tirage de 20 % passant ainsi à 103 000 exemplaires.
Au menu, un poster central avec les 100 têtes de Titeuf dessinées par
Zep, 100 "Mégazinfos" illustrées par la génération d’auteurs passée par
Tchô !, des "Mégajeux", un "Starniouzes" consacré aux auteurs de la
bande à Tchô !, les 100 insultes de Titeuf, les 100 plus grosses bêtises
de Tony et Alberto… et bien d’autres méga surprises.
C’est aussi l’occasion pour l‘équipe du magazine de se retrouver pour
fêter l’évenement lors du festival BD de Nimes ! (voir photo)
Quelques gadgets de Tchô ! au cours de son existence :
En 2010, Fleurus presse devient l'éditeur du titre pour trois ans. Fleurus ne trouvant pas de repreneur au titre, le 164éme et dernier numéro
est édité fin janvier 2013 sous la forme d'un numéro spécial appelé “Le dernier” où plusieurs dizaines d'auteurs ayant contribué au magazine
illustrent leur version de Tchô ! sous la forme d'une couverture et d'une page de contenu.
> Le magazine
1ère réunion Tchô ! en 1998 (avec
Buche, Tebo, J.C Camano, Zep)
Le Tchô N°0 !
Tchô ! était un magazine mensuel de prépublication de
bande dessinée. Il fut édité d'octobre 1998 à janvier 2013.
Le magazine Tchô ! apparaît pour la première fois en 1998.
Créé sous l'impulsion de Zep et Jean-Claude Camano, un
numéro 0 du «plus petit journal de la planète», comme il se
définit lui-même, est inséré dans le septième album de
Titeuf : “Le Miracle de la vie”, publié en août 1998.
L’enveloppe promotionnelle annonçant la sortie du nouveau Titeuf et du 1er Tchô !
On peut voir que la
couverture présentée
a été un peu modifiée
entre temps
>
“Tchô ! Biceps” (#HS 1)
Dans ce numéro spécial de 100 pages sorti en 2007, de grands auteurs sont invités à se mesurer à Captain Biceps : Arleston & Tarquin
l’oppose à Lanfeust pour les beaux yeux de Cixi, Gotlib l’affronte via Superdupont, Vatine crée les femmes de Biceps, sans oublier Julien
Neel (Lou !), Nob (Mamette, Grompf), Boulet, Stan & Vince, et bien d’autres dont Zep lui-même.
Ajoutez des jeux, des blagues, de super-tests, et 32 autocollants de vos héros et méchants favoris.
“Supertchô !” #01
Dans ce numéro spécial de juin 2018, Tchô ! s'offre un méganniversaire !
Retrouvez vos personnages favoris (Lou, Captain Biceps, Mamette, Molly, Marvin et Adèle...) – mais aussi les héros de demain (Rayan, Titi
Poussin, Alban) – à travers 150 pages de bande dessinée : de la création, mais aussi de nouvelles séries en prépublication exclusive !
Anecdotes, coulisses, interviews... un tel numéro ne saurait exister sans un contenu rédactionnel créé spécialement pour l’occasion (dont un
dossier complet sur les 20 ans de Tchô! mais aussi les souvenirs dessinés des auteurs), accompagné de gags, jeux et autres surprises qui
ont fait le succès du mégazine. SuperTchô! : c’est un programme réjouissant réalisé sous le patronage de Zep et Julien Neel (à qui l'on doit
la magnifique couverture), pour célébrer comme il se doit un élan créatif unique dans l'histoire de la bande dessinée jeunesse, incarné par
plusieurs générations d’auteurs. "L'esprit Tchô!" a 20 ans mais il est plus vivant que jamais.
Bonus :
> Dans le mégazine ou à la fin des albums “Tchô ! la collec”, les auteurs se sont souvent exercés à redessiner les héros de la bande à
Tchô ! Retrouvez ici quelques jolies illustrations.
Illustrations de Zep
Julien Neel
Dab’s
Boulet
Bill
En 2005, Tchô ! s’expose dans le métro parisien !
Tehem
Gobi
Reno
Supiot
En janvier 2004, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême propose L'Expo Tchô ! A cette occasion tous les auteurs du
mégazine sont invités (j’y étais !!!). Cette exposition tournera dans la france entière, elle sera modifiée et améliorée au fil des années.
Parmi les nouvelles figures du journal en 2003, on trouve “Captain Biceps” de Zep et Tébo, “Lou !” de Julien Neel (déjà régulièrement
présent dans Tchô !) ou “Zblucops” l'année suivante. Si ces séries connaissent un succès suffisant pour être éditées en album, nombre
de rubriques ont une durée de vie assez brève.
Nob
Lisa
Bertschy
”La bande à Tchô !”
Edités en partenariat avec les éditions Glénat, ces 4 recueils cartonnés de Tchô ! sortis en 2001 et offerts dans les stations essence BP,
ont été produits à 800000 exemplaires chacun.
Mathilde Domecq
Fabien Mense
> Les 5 premiers numéros du “Tchô ! italien”, on y retrouve les thèmes des 5 premiers numéros français.
> En 1999, Zep inaugurait la Villa Bernasconi avec sa première grande exposition à Genève.
Il revient en 2009 avec tous ses copains de l'époque, «La bande à Tchô !», toujours aussi fidèles, toujours aussi politiquement incorrects
et désopilants... Voici des photos de l’évènement.
> Du 18 avril au 29 juin 2013, 8 personnages emblématiques de Tchô ! ont été exposés et mis à l’honneur dans 6 bibliothèques de la ville
de Marseille. Pour cette occasion, la dessinatrice Mathilde Domecq avait fait un énorme travail graphique et de mise en scène.
> Zep était le 24/03/2011 à Grenoble pour une exposition : "Tchô! entre au couvent", au couvent Sainte-Cécile, siège de l'éditeur grenoblois
Glénat. Une sculpture de Titeuf sur le fronton du bâtiment avait été dévoilée ce soir là. A l’intérieur, la fête battait son plein avec un DJ devant
la bibliothèque des éditions Glénat (où sont réunis tous les livres édités depuis 1969).
Tebo
1ère version de la couverture
Progressivement, le gadget Tchô va revenir dans le journal :
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Mais le principal changement a lieu avec le numéro 54, de février 2003 (après deux numéros
datés de janvier 2003) : Tchô ! abandonne son statut de « plus petit journal mégagéant de la
planète » pour celui de «mégazine», en adoptant un format plus classique.
Le magazine compte dès lors 60 pages (puis 68), avec un poster central destiné à remplacer
les cadeaux.
Avec cette formule, la lisibilité est nettement augmentée et le magazine peut accueillir en son
sein de la publicité. L'augmentation de la pagination permet également de prépublier plus de
planches de chaque série, et permet en conséquence aux auteurs de se détacher de la
contrainte du «gag en une planche».
Après quelques histoires développées sur deux pages dans “La Rubrique scientifique” et
“Womoks”, de nombreuses séries s'essaient progressivement au «44 pages».
Titeuf reste le personnage emblématique du magazine, mais, en dehors des planches de la
série, il est généralement illustré par d'autres auteurs de la maison que Zep.
Les 53 “minizines” publiés
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En avril 2007, Tchô le mégazine fêta son 100éme numéro !
Pour l’occasion le titre revêtit ses habits de lumière en adoptant une
couverture dorée, porta sa pagination de 60 à 100 pages et augmenta
son tirage de 20 % passant ainsi à 103 000 exemplaires.
Au menu, un poster central avec les 100 têtes de Titeuf dessinées par
Zep, 100 "Mégazinfos" illustrées par la génération d’auteurs passée par
Tchô !, des "Mégajeux", un "Starniouzes" consacré aux auteurs de la
bande à Tchô !, les 100 insultes de Titeuf, les 100 plus grosses bêtises
de Tony et Alberto… et bien d’autres méga surprises.
C’est aussi l’occasion pour l‘équipe du magazine de se retrouver pour
fêter l’évenement lors du festival BD de Nimes ! (voir photo)
Quelques gadgets de Tchô ! au cours de son existence :
En 2010, Fleurus presse devient l'éditeur du titre pour trois ans. Fleurus ne trouvant pas de repreneur au titre, le 164éme et dernier numéro
est édité fin janvier 2013 sous la forme d'un numéro spécial appelé “Le dernier” où plusieurs dizaines d'auteurs ayant contribué au magazine
illustrent leur version de Tchô ! sous la forme d'une couverture et d'une page de contenu.
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> Le magazine
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1ère réunion Tchô ! en 1998 (avec
Buche, Tebo, J.C Camano, Zep)
Le Tchô N°0 !
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Tchô ! était un magazine mensuel de prépublication de
bande dessinée. Il fut édité d'octobre 1998 à janvier 2013.
Le magazine Tchô ! apparaît pour la première fois en 1998.
Créé sous l'impulsion de Zep et Jean-Claude Camano, un
numéro 0 du «plus petit journal de la planète», comme il se
définit lui-même, est inséré dans le septième album de
Titeuf : “Le Miracle de la vie”, publié en août 1998.
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L’enveloppe promotionnelle annonçant la sortie du nouveau Titeuf et du 1er Tchô !
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a été un peu modifiée
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“Tchô ! Biceps” (#HS 1)
Dans ce numéro spécial de 100 pages sorti en 2007, de grands auteurs sont invités à se mesurer à Captain Biceps : Arleston & Tarquin
l’oppose à Lanfeust pour les beaux yeux de Cixi, Gotlib l’affronte via Superdupont, Vatine crée les femmes de Biceps, sans oublier Julien
Neel (Lou !), Nob (Mamette, Grompf), Boulet, Stan & Vince, et bien d’autres dont Zep lui-même.
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“Supertchô !” #01
Dans ce numéro spécial de juin 2018, Tchô ! s'offre un méganniversaire !
Retrouvez vos personnages favoris (Lou, Captain Biceps, Mamette, Molly, Marvin et Adèle...) – mais aussi les héros de demain (Rayan, Titi
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Anecdotes, coulisses, interviews... un tel numéro ne saurait exister sans un contenu rédactionnel créé spécialement pour l’occasion (dont un
dossier complet sur les 20 ans de Tchô! mais aussi les souvenirs dessinés des auteurs), accompagné de gags, jeux et autres surprises qui
ont fait le succès du mégazine. SuperTchô! : c’est un programme réjouissant réalisé sous le patronage de Zep et Julien Neel (à qui l'on doit
la magnifique couverture), pour célébrer comme il se doit un élan créatif unique dans l'histoire de la bande dessinée jeunesse, incarné par
plusieurs générations d’auteurs. "L'esprit Tchô!" a 20 ans mais il est plus vivant que jamais.
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> Dans le mégazine ou à la fin des albums “Tchô ! la collec”, les auteurs se sont souvent exercés à redessiner les héros de la bande à
Tchô ! Retrouvez ici quelques jolies illustrations.
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En janvier 2004, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême propose L'Expo Tchô ! A cette occasion tous les auteurs du
mégazine sont invités (j’y étais !!!). Cette exposition tournera dans la france entière, elle sera modifiée et améliorée au fil des années.
Parmi les nouvelles figures du journal en 2003, on trouve “Captain Biceps” de Zep et Tébo, “Lou !” de Julien Neel (déjà régulièrement
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”La bande à Tchô !”
Edités en partenariat avec les éditions Glénat, ces 4 recueils cartonnés de Tchô ! sortis en 2001 et offerts dans les stations essence BP,
ont été produits à 800000 exemplaires chacun.
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Il revient en 2009 avec tous ses copains de l'époque, «La bande à Tchô !», toujours aussi fidèles, toujours aussi politiquement incorrects
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> Du 18 avril au 29 juin 2013, 8 personnages emblématiques de Tchô ! ont été exposés et mis à l’honneur dans 6 bibliothèques de la ville
de Marseille. Pour cette occasion, la dessinatrice Mathilde Domecq avait fait un énorme travail graphique et de mise en scène.
> Zep était le 24/03/2011 à Grenoble pour une exposition : "Tchô! entre au couvent", au couvent Sainte-Cécile, siège de l'éditeur grenoblois
Glénat. Une sculpture de Titeuf sur le fronton du bâtiment avait été dévoilée ce soir là. A l’intérieur, la fête battait son plein avec un DJ devant
la bibliothèque des éditions Glénat (où sont réunis tous les livres édités depuis 1969).
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