Doubles, jeux neufs, démos, etc...
Cliquez sur les photos pour les agrandir - Galerie activée
---------------------Ze------------------------------------------------------------------------------------------------
Club nintendo, promos
Cliquez sur les photos pour les agrandir - Galerie activée
---------------------Ze------------------------------------------------------------------------------------------------
Les premiers pas...
Avant d'être le papa de Titeuf que nous connaissons, notre dessinateur préféré s'est attelé à diverses choses...
Je vous propose de découvrir ici les débuts d'un géant de la bd au travers de ses premières oeuvres telles que "Victor", “Amanite Bunker”
ou encore "Léon Coquillard"...ces ouvrages qui ne sont plus édités depuis longtemps...
Découvrez ou re-découvrez également ici les autres oeuvres de Zep, plus récentes et qui s'inscrivent dans la continuité de Titeuf !
“Victor n'en rate pas une !” (09/1988)
Victor est le premier "vrai" personnage publié à grande échelle de Zep. A l'époque la série passait dans le journal de Spirou toutes les
semaines (ce "héros" avait d'abord fait une première apparition dans la presse suisse avant d'arriver chez Dupuis, plus grand éditeur.
De ce passage dans l'hebdomadaire naquit un album finalement édité par Kesselring et non Dupuis (un deuxième était prévu mais la série
prit fin peu aprés...).
L'histoire raconte les aventures de Victor, petit commis gaffeur chez un imprimeur, avec tout ce que ça comporte comme déboires ec
son patron un tantinet acariâtre...
“L’irrécupérable Kradok : Amanite Bunker (scénario de Leglode) (06/1991)
Le héros principal de cette histoire est un punk suivi par un éducateur qui veut le réinsérer dans la société.
A la base, cet éducateur est commandité par le Ministère de l'Education qui souhaite faire un exemple de réinsertion.
Alors, ils prennent le pire cas possible : Kradok, pour en faire un brave garçon. Tout cela étant suivi par les médias.
Zep avoue que cette bd est un exercice de style de l'époque où il était fana du dessinateur Yann et de ses "scénarios à tiroirs ".
Il trouve cette bd ratée mais se justifie en disant qu'il est difficile de construire une histoire avec toutes les deux cases un nouveau
personnage qui fait référence à un événement historique, cela peut amener une certaine confusion...
“Léon Coquillard : divisionnaire de l'après 26 novembre“ (texte de Gilli) (09/1990)
Zep a également dessiné un album commandé par un groupe politique qui souhaitait éradiquer l'armée. Cette idée de supprimer l'armée
en Suisse a donné lieu à une votation et cela a été à deux doigts de passer. Comme le dit lui-même Zep, cela commençe comme un
Astérix : à l'aube du XXIe siècle, le peuple suisse, aveuglé par la propagande pacifiste, a voté OUI à la suppression de l'armée.
Toute la Suisse est désormais sans défense... Toute ? Non !!! Un irréductible officier résiste encore et toujours... L'ennemi peut venir...
Léon Coquillard l'attend ...
La BD raconte l'histoire d'un officier qui refuse de quitter son uniforme. II ést suivi par un psychologue familial qui essaye de le réinsérer
dans la société civile. Mais Léon est tellement un militaire dans l’âme qu'il ne peut rien faire.
Cette BD a eu un succès monstre en Suisse...iI se vend encore sous le manteau dans les casernes militaires !
“Les filles électriques” (04/1997)
Un jeune garçon (Robert, rempli de rêves d'amour mais un peu haut-dessus de ses moyens !) y raconte, à travers ses yeux d'adolescent,
toutes les filles dont il est amoureux. A chaque histoire correspond un prénom de fille.
Ici, nous avons affaire à une bd plus adulte mais le parallèle à faire entre cette BD et celle de Titeuf est évident.
Dans une interview, Zep raconte à propos de sa bd : "Je pars sur du vécu mais j'élargirai par la suite sinon je n'arriverai jamais à faire 52 filles.
Ce sont souvent des histoires assez foireuses, ça ne marche jamais... ce sont des histoires d'amour très courtes, en moyenne, elles durent
entre 1 seconde et 3 minutes".
Bref, une chronique de lycée totalement désopilante !
“Les amours contrariées de Calin & Labelle “ (01/1995)
II s'agit d'un recueil de gags publiés initialement dans le mensuel catholique suisse "Vie" et édité par le “BD Club de Genève”.
C'est une série mettant en scène une femme-ange et un diable qui sont amoureux. Ils doivent se voir en cachette et ils imaginent pour
cela toutes sortes de manigances.
A l'époque de la publication, iI y avait plein de questionnements par rapport à la tolérance en général.
Zep y abordait divers sujets liés à l'actualité : les réfugiés, les fichés (en Suisse, on a une espèce de police des polices qui fiche absolument
tout le monde), les dirigeants africains qui venaient planquer leur fric en Suisse...
La rédaction a reçu des réactions de lecteurs scandalisés : "Qu'est-ce que c'est que cette espèce de gauchiste qui essaie de conscientiser
jusque dans notre journal de l'église ! Foutez-le dehors !!!
Dans un interview, Zep raconte à quel point c'était rigolo, parce qu'en plus le journal a publié ces lettres et pendant quelques mois il y a
eu un dialogue entre les lecteurs, ceux qui aimaient et ceux qui détestaient : "C'est bon signe quand les gens réagissent, le pire c'est
l'indifférence", dit-il ! Le tirage de ce livre est de 1000 exemplaires.
Cette BD a bénéficié au fil des
rééditions de 2 autres couvertures...
...et même d’un changement
de titre (et de charte graphique)
Le contenu
reste quand à lui
inchangé !
“L'enfer des concerts” (10/1999)
Du rythme, du son, de la poésie, de l'émotion, du frisson, des stars....
Vivez l'enfer des concerts, dans cette superbe bd où Zep, grand amateur de musique et de concerts, musicien lui-même, s'amuse à caricaturer
les plus belles les stars de la chanson dans leurs concerts respectifs !
Cette BD a aussi bénéficié lors d’une
réédition d’une autre couverture...
...et également
d’un changement
de titre (et de
charte graphique)
Le contenu
reste là encore
inchangé !
Un recueil compilant
“les Filles électriques”
et “L’enfer des concerts”
est sorti avant la série
des BDS “Happy”.
>
“Les minijusticiers” (scénario de Hélène Bruller) (05/2003)
Superprout, superpadetête et leurs supercopains vous entraînent dans leurs superhistoires.
Un superlivre pour tout le monde, même pour ceux qui ne lisent pas encore superbien !!!
Cette BD destinée aux 3-6 ans
a été adaptatée en série animée,
puis en livre de poche (15 titres
sortis) avec au dessin de
couverture : Georges Abolin.
“Découpé en tranches” (03/2006)
Des tranches de vies poétiques et amusantes de l’auteur, croqués avec beaucoup d’auto dérision : depuis ses premiers pas à sa première
guitare, ses copains d’école et premiers amours, jusqu’à la recherche du meilleur superpouvoir. Un livre très attachant.
En 2014, “Rue de Sèvres” réédite avec
une nouvelle couverture l’album paru à
l’origine chez “Seuil”.
L’album en
version poche
“Happy sex” (10/2009)
Zep s’offre une petite récréation adulte le temps d’un album avec “Happy Sex” et ses 59 gags sur fond de galipettes diverses.
Jamais vulgaire, toujours drôle, Zep montre que la vie intime d’un couple peut aussi être amusante, burlesque ou cocasse.
Un album hilarant à lire à deux…
Cette album est à l’origine de la série des “Happy”,
les 2 albums “Happy...” situés un peu plus haut, ainsi
que ce dernier, ont fait l’objet de l’édition d’un pack sous
forme de coffret intitulé :“Happy books”.
“Une histoire d'hommes” (09/2013)
Après s'être séparés plusieurs années auparavant, une bande de copains et membres d'un groupe de rock se retrouvent chez l'un d'eux,
Sandro. Certains ont réussi, d'autres moins. Au détour de flash-back sur les concerts, la drogue, les amours passagères, ils comprennent
les événements mal perçus à l'époque et découvrent que quelque chose de plus fort que la musique unit certains d'entre eux.
Un album surpenant avec un Zep dans un nouveau registre.
“What a wonderful world” T.1 (10/2015)
Au fil d'un journal de bord quotidien, publié initialement sur le site lemonde.fr (http://zepworld.blog.lemonde.fr/), Zep nous livre une
nouvelle salve d'humour décapant ! Il traite de sujets intimes ou universels comme : «Pourquoi je me suis rasé la barbe ?», «Le
djihadisme amateur» ou «La sexualité compliquée des super-héros» ...bref, dans cet album, l’auteur suisse donne sa vision du monde.
“What a wonderful world” T.2 (11/2016)
Second tome rassemblant le contenu de son blog, la BD s’ouvre sur une des réactions les plus fortes face aux événements dramatiques
de 2015. En effet, dans la note “Mi petit, mi grand…” Zep ose mettre en scène son héros fétiche face à la guerre; dans une succession de
violences insoutenables. La réalité dans ce qu'elle a de pire s'immisce dans le monde imaginaire et enfantin de Titeuf et s’achève sur un
«Au secours !»et un brutal fondu au noir. En quelques cases, l’auteur résume le désarroi, de tout un chacun face à la folie des hommes.
Dans le reste de ce tome 2 on retrouve Zep se mettant lui-même en scène dans des histoires tristes, drôles ou poétiques
La note bouleversante
“Mi petit, mi grand…”
postée le 8 septembre
2015 sur le blog.
>
“Un bruit étrange et beau“ (10/2016)
Marcus vit reclus dans un monastère depuis vingt-cinq ans. Il ne quitte sa cellule que le temps de trois messes chantées et pour le repas
du dimanche qu’il prend en communauté avec ses condisciples. Une fois par semaine, c’est la récréation et il marche quelques
heures en montagne. Les jours se suivent et se ressemblent et il n’y aura que la convocation d’un notaire pour le sortir de sa retraite.
Pendant un court passage à Paris, Marcus redevient William. Une BD tendre et poignante.
“The End“ (04/2018)
Dans le cadre d’un stage, Théodore Atem intègre une équipe de chercheurs basée en Suède qui travaille sur la communication des arbres
entre eux et avec nous. Ce groupe de travail dirigé par le professeur Frawley et son assistante Moon, tente de démontrer que les arbres
détiennent les secrets de la Terre à travers leur ADN, leur codex. C’est en recoupant ces génomes avec la mort mystérieuse de promeneurs
en forêt espagnole, le comportement inhabituel des animaux sauvages et la présence de champignons toxiques que le professeur
comprendra, hélas trop tard, que ces événements sonnent l’alerte d’un drame planétaire duquel seul Théodore et quelques survivants
seront épargnés. Serait-ce une nouvelle chance pour l’espèce humaine ?
Une histoire haletante que j’ai dévoré de bout en bout.
La jaquette collector offerte par les librairies
CANAL BD lors de la parution de l'album.
“Zep à Sierre” (06/2001)
Ce livre raconte les aventures palpitantes de Zep en festival BD. Il s’agit d’un tirage spécial en sérigraphie pour le 18e Festival BD de Sierre.
Il est numéroté à 1000 exemplaires + 200 ex. HC.
“Les aventures de rat d'égout” (1990)
Edité par les ateliers du voyage à Genève 1990. C’est un album publicitaire format 15 x 10,5 cm. Il contient 8 pages illustrées en N/B.
“Contes du Kurdistan” (1985)
Dans le Kursistan rural où les écoles sont rares, la culture orale joue un rôle fondamental.
Vous trouverez au travers des 12 contes de ce livre, un code de morale entier qui transparaît au fil des histoires qui savent garder l'humour
et la fraîcheur de la parole... De jolies illustrations d'un Zep tout jeune mais déjà talentueux.
“Happy parents” (10/2014)
Être parents, c'est compliqué, être enfant, ce n'est pas simple ! Au fil de 60 gags et autant de situations, Zep donne vie à ses personnages
avec d'un côté, des pères et des mères que rien ne préparait à ce choc; de l'autre, des bébés, des écoliers, des ados immergés dans leur
univers. Et entre les deux, mille et une occasions de ne pas se comprendre.
Le livret offert par les librairies CANAL BD lors
de la parution de l'album. Zep y présente les différents
aspects de son travail sur cette histoire.
“Happy sex 2” (09/2019)
60 planches... 60 moments hauts en couleur de la vie sexuelle d'une savoureuse galerie de personnage en qui chacun(e) pourra
se reconnaître ! Avec, en guest stars, les réseaux sociaux, les smartphones et autres objets connectés qui, pour le meilleur et souvent le pire,
sont devenus les partenaires incontournables de toute une génération !